Le gouvernement Obama vient d’offrir un grand coup de pouce à la filière des Wearables devices. Un centre de recherche et de développement sera ouvert à la Silicon Valley avec la participation du Pentagone et du ministère de la défense américain.
À propos de ce nouveau centre
Le centre recevra des fonds de la part du Pentagone, du ministère de la Défense et d’autres institutions pour un total d’environ $171millions. C’est un institut qui se spécialisera dans l’innovation des produits électroniques flexibles et hybrides. Un projet qui promet beaucoup dans la mesure où la nanotechnologie prend de plus en plus de place dans la technologie en général. Pour cela, plusieurs grands noms de l’électronique et de l’informatique vous concourir ensemble pour donner vie au projet. Apple, Boeing, General Motors ou encore Hewlett Packard sont parmi les plus connus pour participer à ce projet. Et l’institut agira sous les ailes du FlexTech Alliance. Les responsables viennent d’annoncer le rassemblement de quelque 500 personnes pour le projet, d’ici 2016. Une équipe aussi massive dans l’objectif d’apporter d’importants changements au sein du gouvernement américain, le plus puissant et le plus bureaucratique sur Terre.
Quelles sont les vraies raisons de ce projet ?
Outre le fait que ce centre de recherche et développement cherchera avant tout à apporter des innovations en matière d’informatique et d’électronique. C’est avant tout un moyen d’apporter une grande évolution sur les technologies militaires et industrielles des États-Unis. Il y a également le besoin d’amélioration du système informatique de l’administration américaine à l’image des Services de l’Immigration. En même temps, le centre travaillera avec plusieurs startups dans le but d’améliorer la fiabilité et l’efficacité des produits de la Silicon Valley. Par ailleurs, l’institut en question est une partie de plusieurs projets initiés par le gouvernement Obama dans le domaine de la recherche et du développement. L’imprimante 3D, ainsi que les métaux légers et semi-conducteurs sans silice sont parmi les cibles de lourds investissements de la part de la Maison-Blanche.