En combinant IA, capteurs connectés et énergie solaire intégrée, une nouvelle technologie française vous aide à réduire votre facture d’énergie.
Face à la flambée des prix, une technologie française change la donne et sauve la facture d’énergie. Soutenue par l’État, elle divise jusqu’à la moitié des dépenses en énergie des immeubles collectifs. Le tout sans travaux lourds ni contraintes pour les occupants.
Une technologie française qui réduit la facture d’énergie ?
L’idée est simple : analyser, ajuster et économiser sans modifier le confort des habitants. Cette innovation s’est déjà installée dans plusieurs milliers d’immeubles. Elle agit en continu pour amoindrir les dépenses de chauffage, d’eau chaude et d’électricité.
Une intelligence artificielle au service du quotidien
Le système repose principalement sur un réseau de capteurs reliés à une IA développée en France. Ces capteurs suivent la température, la consommation d’eau ainsi que les habitudes des résidents. Le logiciel ajuste ensuite automatiquement le chauffage, la ventilation et l’eau chaude. Il le fait selon la présence et le rythme de vie des occupants. C’est ainsi que cette technologie française diminue la facture d’énergie.
Cette innovation contribue effectivement à l’optimisation des besoins énergétiques. Et personne n’a besoin d’intervenir pour cela. Les utilisateurs constatent d’ailleurs des économies dès le premier mois. Et la plupart du temps, ils ne s’en rendent pas compte. Même les copropriétés anciennes, réputées énergivores, voient leur consommation énergétique divisée par deux.
À quel point cette technologie française réduit la facture d’énergie?
En moyenne, un appartement qui dépensait 3 200 euros par an avant installation ne débourse plus que 1 600 euros. Les immeubles haussmanniens parisiens et les bâtiments des années 2000 affichent des résultats similaires. Cela s’applique également aux constructions récentes.
Les syndics y trouvent aussi leur compte. Après tout, on observe des charges plus stables, une meilleure gestion et moins d’interventions d’urgence. Ce cercle vertueux séduit de plus en plus de copropriétés, prêtes à franchir le pas face à la crise énergétique.
Qu’est-ce qui rend cette solution si innovante ?
Cette technologie française ne se contente pas de sauver la facture d’énergie. Il produit aussi une partie de celle qu’il consomme. C’est ce double mécanisme qui en fait une innovation majeure dans le domaine du bâtiment intelligent.
Le solaire intégré au cœur de cette technologie française
Les immeubles équipés bénéficient de toits solaires intégrés. On les appelle BIPV (Building Integrated Photovoltaics). Contrairement aux panneaux classiques, ces modules s’intègrent directement dans le bâti et restent discrets.
Ils alimentent l’immeuble en électricité locale, ce qui diminue la dépendance au réseau national. Certaines copropriétés atteignent même une quasi-autonomie énergétique. En prime, la valeur immobilière des bâtiments augmente sensiblement. Une facture d’énergie réduite n’est donc pas le seul avantage de cette technologie française.
Une technologie avec un pilotage accessible
Les résidents peuvent par ailleurs suivre leur consommation via une application mobile. Celle-ci envoie notamment des alertes en cas de surchauffe. Elle vous alerte également en cas de surconsommation ou de fenêtres ouvertes.
Le système apprend des habitudes de chacun pour proposer des ajustements automatiques. Les syndics disposent, eux, de tableaux de bord complets pour anticiper les besoins de maintenance et optimiser les dépenses collectives. Cette simplicité d’usage rend la solution accessible à tous, même aux personnes peu à l’aise avec le numérique.
Une technologie française qui réduit la facture et change la société
Depuis début 2025, le gouvernement soutient activement le déploiement de cette innovation française. La Gazette Observatrice rapporte que les subventions couvrent jusqu’à 60 % des frais pour l’installation. Cela réduit alors le retour sur investissement à moins de trois ans.
Des primes régionales et des aides au remplacement de chaudières collectives complètent en outre ce dispositif. Cela rend donc la solution encore plus accessible à un large public.
Mais ce n’est pas tout, car cette filière a créé plus de 30 000 emplois en France. Ces derniers concernent les domaines du bâtiment et de l’énergie. Chaque installation réduit de moitié les émissions de CO₂ des immeubles concernés.
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