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[Flash] La Nasa et Verizon veulent traquer les drones depuis les hauteurs

Nasa drone terroriste

La Nasa et Verizon ont signé un accord à 500 000 dollars pour organiser la traque dans l'espace aérien des drones civils et commerciaux aux Etats-Unis, selon des informations collectées par The Guardian. Signé l'an dernier, l'accord comprend la gestion du trafic aérien pour mieux repérer les drones qui utilisent des radars, le satellite ou les mobiles.

Un enjeu qui a intéressé Google et Amazon, qui auraient signé un accord de soutien au développement de la technologie qui permet ce tracking de précision proposé par la Nasa, et élaboré dans les laboratoires du « Ames Research Center » en Californie, selon des mentions contractuelles qui sont tombées dans les mains de The Guardian.

Nasa
Ames Research Center, Nasa

Et pourquoi s'intéresser à la traque des drones ? Selon les communiqués, l'idée est de sécuriser les vols commerciaux et les vols de drones civils, en ajoutant aux volatiles mécaniques des technologies permettant de les tenir à l'écart des zones sensibles (telles que la Maison Blanche). Cette technologie permet la neutralisation des drones, leur atterrissage en cas de mauvais temps, prévenir les collisions. Toutefois, il reste recommandé aux Etats-Unis de voler en dessous d'une altitude de 150 mètres de hauteur maximum et seulement en plein jour. La proposition implique également une vitesse de pointe maximale de 160km/heure.

Verizon doit développer prochainement un moyen de gérer ces drones depuis son mobile dont une première mouture devrait être proposée d'ici 2017, pour une finalisation pour 2019. Quant à la Nasa, elle doit tester le système d'ici l'été prochain. Ce sont les tours de Verizon qui devraient héberger la technologie. Google et Amazon ne sont pas étrangères au processus puisqu'elles ont respectivement pour Google investi 450 000 dollars pour partager les données de ses tests pour le Project Wing et teste ses futures voitures sans conducteur avec le centre de recherche Ames. Amazon a mis 1,8 millions de dollars sur la table, rien que ça, pour tester son Prime Air delivery, son service de livraison par drones.

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