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[Étude] 40 % des millennials changeraient de wearables tous les ans

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Les « millennials » intéressent fortement les entreprises tournées vers le grand public. La génération comprise des personnes nées entre les années 1980 et le début des années 2000 est naturellement friande des nouvelles technologies. Les wearables n'échappent pas à cette tendance, 40 % des membres de la génération Y changerait donc de dispositifs tous les 6 à 12 mois. 

Le cabinet d'étude Lexis Nexis Risk Solutions, basé en Géorgie aux Etats-Unis a réalisé une étude à l'international concernant l'achat des montres, bracelets et tout autre objet connecté qui se portent. Il s'est concentré sur les goûts des « millennials », les personnes de la génération Y. Les spécialistes ont interrogé 2800 jeunes dans sept pays distincts : l', le , le Mexique, les États-Unis, la Malaisie, Hong Kong, et le Brésil.

Résultat, en faisant la moyenne des sept marchés, 40 % des sondés renouvellent leur wearable tous les six à douze mois. Évidemment, ce taux varie selon les habitants des différents pays. Ce taux de renouvellement en un an atteint 60 % au Mexique, 51 % au Brésil, 35 % en Malaisie, 34 % à Hong Kong, 33 % au Royaume-Uni, 28 % en Allemagne et 25 % aux Etats-Unis.

Les millennials Américains sont finalement ceux qui tiennent le plus à leurs wearables qu'il possèdent actuellement. 36 % d'entre eux en changent tous les deux ans et 39 % au-delà de cette durée.

Ce renouvellement aux Etats-Unis n'est pas forcément du à la casse des appareils en question. 55 % des possesseurs de bracelets ou de montres connectées achètent un nouveau dispositif parce qu'il le veulent et 43 % d'entre eux le font pour effectuer un remplacement en raison des problèmes rencontrés avec celui-ci.

Les millennials préfèrent un usage privé des wearables

Dans ce pays, ils sont 31 % à posséder un d contre 33 % en moyenne. Autre indice pour le , 77 % des sondés souhaitent posséder un objet connecté de ce genre pour eux et ne pas l'utiliser dans le cadre de leur travail. 

Si ces chiffres sont intéressants pour dégager un état d'esprit de la génération Y face aux , l'étude manque tout de même de pertinence en vue du marché français. D'une part l'avis des jeunes de l'hexagone n'y figure pas et les critères réels d'adoptions ne sont pas observés. En revanche, le prix reste un frein majeur, notamment dans la catégorie .

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